Pendant le premier quart du XXe siècle, les métiers qui s’offraient aux habitantes de la commune étaient peu nombreux ; les travaux des champs, la confection des filets de pêche et quelques petits métiers dont celui de brodeuse de bas et chaussettes apportaient un complément de revenu au foyer.
L’installation d’une usine de bonneterie dans l’ancienne cave de la propriété de la famille du peintre Frédéric Bazille offrit un emploi stable à plusieurs générations de Péroliennes. Après la guerre de 1939-1945, deux Péroliens créèrent une conserverie de poisson. Le manque de machines en bon état, la mauvaise qualité des matériaux et des produits de cette période de restrictions ont eu raison de cette tentative.
